Portugais, Hongrois, Tchèques, Bulgares ou Lettons, ces diplomates n'ont pas résisté à la tentation.
Ils ont cliqué pour Carla !!!
La souris, en tenue d'Eve, était la Première Dame de France sous plusieurs angles, mais elle laissait sur son passage un petit programme espion dans les ordinateurs.
A l'occasion de la semaine du documentaire, Arte diffusait dans la nuit de mercredi à jeudi, le film de Michael Radford, Body & Soul. De son enfance et tout au long de ses 4 mariages, ce film nous éclaire sur ce que fut l'ascension (courte) de ce de genie de la musique et de la vie. A voir ou à revoir ! A posséder dans sa dvdthèque
Atteint d’ostéogenèse imparfaite, Michel Petrucciani surmonta ce handicap et devint un artiste de renommée internationale. En dressant le portrait de ce grand pianiste de jazz au travers d’interviews et d’images d’archives, ce documentaire interroge la nature de la créativité. Quelles sont les sources d’une inspiration sublime et comment se manifestent-elles?
"On a du mal à se lever après le DVD qui brosse la vie du pianiste français Michel Petrucciani. Voilà un documentaire qui contribuera à populariser le jazz. Il respecte parfaitement les canons du genre. En effet, trente cinq proches apportent leur point de vue au tableau du réalisateur Michael Radford. En ce sens, le film remplit parfaitement l'objectif : nous placer devant le personnage. Chaque scène nous sidère. Certaines même éclatent de poésie, comme celle où l'esthète affirme qu'il avait l'impression que les dents blanches du piano le narguaient, et qu'il se vengerait en jouant brillamment..."(Bruno Pfeiffer LIBERATION.FR)
Une voix et des mélodies qui nous rappelle Susan Vega, un piano remplace la guitare, une musique plus pop et voila! ....Envoûtant !
cats on trees
Une appétence évidente pour les harmonies entraînantes, fondées sur un duo piano-batterie : depuis 2007, Nina Goern et Yohan Hennequin, alias Cats On Trees, développent à Toulouse une pop intimiste et profonde qui, après deux EP, se retrouve sur un premier album dont, sans attendre, Sirens Callset son clip tourné en Bolivie permet d'entrevoir l'entêtante énergie. Dominique Keller
Il allie les qualités des eDonkey, eMules etc, mais il est moins discret que ces derniers car on le remarque plus facilement sur le réZOO. On observe des lignes alternées claires/foncées sur les 4 colonnes du bas, De quoi se repérer facilement. Difficile de savoir si il fera des Emules car il parait qu'il que l'on ne peut pas le reproduire à l'infini comme ces nobles prédécesseurs.
Voyez plutôt la bête
Moi, ce que je préfère, c'est les chaussettes !
$$$$$....eZonkey .....Vite, Je cours déposer le nom ..... $$$$$$
- DEMARRER LA VIDÉO ET ACCOMPAGNER AMANDINE EN FREDONNANT LES PAROLES -
Votre cœur sous la pierre
Votre cœur, ce fou s'en est allé
Le vent l'a balayé
Comme tous les autres cœurs
Etrangé, solitaire
Votre cœur, ce fou, s'est consumé
Bienveillant et borné,
S'évaporant bien avant l'heure
Ô lourde peine
Ô serments décimés
Je vous hais de
Vous avoir tant aimé
Votre cœur fait de pierre
Capricieux et rêveur a lâché
De soupirs accablé
Compressé, harassé d'aigreurs
Maintenant comment faire
Votre nom sur la carte est rayé
Nulle part où aller
Votre cœur c'était le monde entier
Ô lourde peine
Ô serments décimés
Je vous hais de
Vous avoir tant aimé
Nul éclair de chaleur
Votre cœur c'était tous les étés
Allez en paix mon cœur
Puisse un jour le mien vous retrouver
Parcs, le quatrième album de Bertrand Belin, nous promène dans des allées où la musique foisonne et le texte se dénude, où l'ombre de Jack London et de Herman Melville se croise au détour d'une ou deux chansons. Enregistré à Sheffield sous la houlette de Mark Sheridan, ce disque est une jolie réussite qui devrait confirmer un succès grandissant.
A New York, Banksy a fait vendre ses toiles à 60 dollars afin de dénoncer la folie du marché de l'art au regard des œuvres elle-même. Quand on sait que certaines œuvres on été vendues plusieurs centaine de milliers de dollars, on aurait pu penser qu'il y aurais eu un rush, mais sortie de leur contexte et sans publicité, il ne s'en est écoulé que huit dans la journée.... sans le savoir les heureux acheteurs, qui étaient tous sauf des collectionneurs sont partis avec une petite fortune sous le bras